Premier visionnement de la journée sur la Croisette, au Théâtre Croisette JW Mariott, où sont projetés les films de la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs
Les moins de 16 ans prennent la pose devant le stand de la sélection de la Quinzaine |
Les inévitable files d'attente...on en profite pour faire les articles pour le blog et envoyer des SMS |
La grande salle du Théâtre Croisette |
Intervention du réalisateur Stephen Frears |
Projection en présence du réalisateur Brian De Palma disciple d'Alfred Hitchcock DERNIÈRE PROJECTION DE LA SOIRÉE Film de Nicolas Winding Refn avec la star montante d'Hollywood Ryan Gosling Kristin Scott Thomas est également présente à l'affiche
Polar ayant pour décor Bangkok
Manon, Sorraya (la meilleure chasseuse de places) et Solène ont réussi à obtenir des invitations
Chasser pour monter !
Tout a commencé lorsque Mr De Pin nous a annoncé que Ryan Gosling figurait à l’affiche du film de Nicolas Winding Refn, polar violent dont l’action se déroule à Bangkok.
Etant de grandes fans
de lui, nous étions décidées à trouver des places.
Notre détermination fut payante puisque nous en avons
obtenues trois invitations.
Notre premier film se terminant à 13h30 et le suivant commençant
à 18h00,cela ne nous laissa que deux
heures pour nous préparer, manger et prendre le bus.
Dans le bus,
l'excitation était au rendez-vous. Pas un instant, nous ne doutions d’échouer dans
notre quête.
Les sésames enfin obtenus, nous pûmes enfin
entrer dans la salle pour apprendre que Ryan Gosling ne serait finalement pas présent
à la projection, retenu par la réalisation de son film en cours…. Solène Kohler & Soraya Saad-Guermeche
Hiroshima, mon amour
Étant donné
que lundi soir je n'ai pas pu avoir d'invitation pour pouvoir monter les
marches, je suis finalement allée voir un classique du cinéma : Hiroshima, mon
amour. En effet, en plus de la sélection officielle ou encore la quinzaine des
réalisateurs, on peut trouver également Cannes Classics, une sélection
présentant uniquement des classiques du 7ème Art.
Une fois
installée dans la salle de projection Bunuel, j'ai pu rencontrer l'actrice
principale du film, Emmanuelle Riva. Elle était venue assister à la projection
du film pour voir la "version ______" du
film. Emmanuelle Riva a reçu le César de la meilleure actrice, et
également reçu un bafta qui équivaut à un César. Elle a également été nominée
aux Oscars mais sans recevoir de prix.
Hiroshima, mon amour est un film en noir et blanc ayant été
réalisé en 1959 par Alain Resnais. Il raconte l'histoire d'une jeune actrice
française venue tourner un film à Hiroshima au Japon. Le film débute
lorsqu'elle se réveille après avoir passé la nuit avec un japonais. Lorsqu'ils
sortent de l'hôtel, le japonais apprend que l'actrice repart le lendemain. Il
souhaite la revoir avant son départ mais elle refuse et part avec un taxi pour
rejoindre le lieu de tournage de son film. Elle pense alors qu'elle ne le
reverra plus, sauf qu'il la retrouve au studio où elle tourne son film. Elle
passe donc la soirée et la nuit avec lui. Elle lui raconte alors son histoire
d'amour qu'elle a vécu avec un allemand pendant la Seconde Guerre Mondiale à
Nevers en France. Elle lui raconte également le moment de sa vie où elle a été
prise de folie lors de la mort de son amant et donc pourquoi elle ne veut plus
tomber amoureuse pour éviter de répéter cela avec son amant japonais et donc de
souffrir.
Personnellement
je n'ai pas aimé ce film. Le film commence par un défilé d'images montrant la
catastrophe d'Hiroshima avec, comme bande-son, une discussion entre l'actrice
française et son amant. L'idée de commencer le film par ces images est assez
bonne mais le dialogue est très répétitif. Ce problème de répétition est
également présent quand la jeune Française parle de sa folie. A certains moment
je trouvais qu'Emmanuelle Riva avait du mal à exprimer certains sentiments,
comme par exemple, la colère quand elle raconte son histoire à son amant
japonais ou encore la souffrance et le désespoir.
Até ver a luz
Até ver a luz
est un film issu de la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs. Il a été
réalisé par Basil da Cunha. Les acteurs principaux sont Pedro Ferreira
(Sombra), Joao Veiga (Olos), Nelson da Cruz Duarte Rodrigues (Nuvern) et Paulo
Ribeiro (Mix). C’est un long métrage montrant la vie difficile dans les bidonvilles
et la situation des personnes y vivant.
Sombra,
qui était jusqu’à présent en prison,
recommence à dealer dans un quartier créole de mauvaise réputation qui
se trouve à Lisbonne. Il doit entre-autre régler des dettes à un autre dealer
et va d’abord essayer de fuir ses problèmes avant de réellement les affronter.
Il survit comme il a l’habitude de le faire en ne vivant pratiquement que la
nuit et en fuyant le plus la lumière du jour.
Travail de
la mise en scène
Les plans étaient le plus souvent des gros
plans ou des plans américains et rares sont ceux dans lesquels les acteurs apparaissaient
de la tête aux pieds. Les mouvements de la caméra étaient assez lents, ce qui
permettait de bien appréhender le
paysage du bidonville. La musique, quant
à elle, reflète l’attitude désinvolte et le sérieux des dealers lorsqu’il
s’agit de s’occuper des personnes qui ont des dettes envers eux.
Un scénario complexe et une histoire pas toujours
facile à comprendre, mais des acteurs qui
interprétaient bien leur rôle. Les scènes dans lesquelles il y a de la tension
sont jouées à merveille et le décor convenait parfaitement à l’histoire.
Chronique de Lucie ARNOLD, Alix
GAVET-DURR, Margaux CATTANEO , Inès PILLON , Manon aRMSPACH,Magali JANTET,
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